Treize personnes forment le jury d'un procès criminel. Ils doivent statuer à l'unanimité sur le sort d'un jeune homme, accusé de parricide. S'il est déclaré coupable, la chaise électrique sera la sentence. S'il est déclaré innocent, il sera libéré. Espérant expédier les délibérations, douze jurés le déclarent coupable. Un seul est convaincu de son innocence. Ce huis clos est un véritable laboratoire de notre humanité, révélant les motivations et les préjugés de ces treize jurés.

Trois pièces : Iphigénie, Agamemnon, Electre. Trois tragédies, empruntées à la Grèce antique pour nous parler de nous, de nos mémoires un peu brouillées. Trois tragédies pour nous parler de notre humanité et exorciser nos drames immuables pour laisser entrevoir toutes les lueurs de nos espoirs

Quelque part, à un certain moment, dans une certaine société bien peignée, je m'installe comme on pose ses valises sur le paillasson. Je frappe. On m'ouvre la porte. Je me présente : La Peste ! Vous me connaissez déjà... Réfléchissez ! Mon bruit sourd et lancinant quand je m'approche. Vous me craignez même. Mais la peur n'empêche pas le danger. Alors... faisons connaissance voulez-vous ?

À la caisse du supermarché, un homme ne trouve pas sa carte de fidélité. La caissière appelle la sécurité alors l’homme prend la fuite. En quelques heures, il devient l’ennemi public numéro 1. Son cas divise la société. Un road-movie drôle et déjanté

Un building. 13 étages. Nous sommes chez Consulting Conseil, une entreprise qui a pour ab-surde mission de coacher les coachs, de conseiller les conseillers. Le président directeur général amorce la pièce en motivant ses employés avec un discours démagogique, superposant avec éloquence, banalités et techniques de commu-nication. Puis, suivant la chronologie d’une journée de travail, on se hisse dans le building au rythme soutenu d’une scène par étage : hôtesses, comp-tables, agents d’entretien, cadres, directeurs des ressources humaines, chargés de communication s’agitent, déjeunent, prospectent, brainstorment au rythme des crashs de pigeons sur leurs baies vitrées

Obnubilé par l'idée de faire fortune, Carlo Ponzi, immigré italien aux Etats-Unis, met en place un système de placement très lucratif, qui deviendra, malgré lui, l'arnaque du siècle qui portera son nom. Cette biographie haletante et rythmée révèle les travers d'un système capitaliste qui confond réalisation de soi et réussite personnelle avec enrichissement et profit

Obnubilé par l'idée de faire fortune, Carlo Ponzi, immigré italien aux Etats-Unis, met en place un système de placement très lucratif, qui deviendra, malgré lui, l'arnaque du siècle qui portera son nom. Cette biographie haletante et rythmée révèle les travers d'un système capitaliste qui confond réalisation de soi et réussite personnelle avec enrichissement et profit

Nous sommes à la cour du roi Ignace et de la reine Marguerite... et on s'y ennuie ferme. L'apparition d'Yvonne, passive et mutique, va créer l'événement. Par défi et par provocation, le prince Philippe décide de l'épouser. Les rires malsains, les moqueries fusent. Yvonne dérange. Sa présence révèle les turpitudes et faiblesses de chacun. La cour est déstabilisée. Il faut s'en débarrasser.

Qui ne connait pas le Petit Chaperon rouge ?! Le voici revisité à toutes les sauces. Partis d’improvisations, les comédiens nous offrent leurs propres versions du plus célèbre conte de tous les temps !

À table, ça va refroidir !

Deux textes mis en tête à tête, face à face, côte à côte et parfois même renvoyés dos à dos. D’un côté, la célèbre fable racontée “en variant le style” comme si la cigale et la fourmi, insatisfaites de la version que La Fontaine a donnée de leur querelle avaient fait appel aux plus grands auteurs pour se raconter à nouveau. De l’autre, “Les portes” - traité de savoir-vivre - à l’usage de ceux qui se cognent la tête contre les murs - l’art et la manière de pousser et passer les portes. Par ces portes battantes s’échappent des paroles cassantes ou caressantes pour dire la vie comme elle va. D’un côté, une histoire intemporelle renouvelée avec humour et malice. De l’autre le bonheur de s’ébrouer dans les mots.

Deux textes mis en tête à tête, face à face, côte à côte et parfois même renvoyés dos à dos. D’un côté, la célèbre fable racontée “en variant le style” comme si la cigale et la fourmi, insatisfaites de la version que La Fontaine a donnée de leur querelle avaient fait appel aux plus grands auteurs pour se raconter à nouveau. De l’autre, “Les portes” - traité de savoir-vivre - à l’usage de ceux qui se cognent la tête contre les murs - l’art et la manière de pousser et passer les portes. Par ces portes battantes s’échappent des paroles cassantes ou caressantes pour dire la vie comme elle va. D’un côté, une histoire intemporelle renouvelée avec humour et malice. De l’autre le bonheur de s’ébrouer dans les mots.

La famille Lapin vit dans un 1 pièce et demi. Si la vie n'est pas toujours facile Mama Lapin trouve toutes les solutions aux problèmes de chacun et de tous. Elle fonde beaucoup d'espoir sur ses enfants qui ont déjà une bonne situation et ceux qui mènent de solides études. D'autant que l'augmentation de papa est imminente. Mais rien ne va se passer comme prévu et un concours de circonstances va amener papa, mama et les 5 enfants Lapin à revivre sous le même toit. Dans ce joyeux chaos, mama Lapin et sa tribu vont déployer des trésors d'ingéniosité, de solidarité, d'entraide et d'amour pour nous livrer une comédie mordante et délirante.

Tous les jours, à la même heure, place de la Résistance, Mona vient s’asseoir sur son banc et nourrit ses pigeons. Mais ils deviennent si nombreux qu’ils empoisonnent la vie des gens du quartier. Tout est mis en oeuvre pour raisonner la vieille dame afin qu’elle cesse de les nourrir. Mais Mona résiste….. Histoire imaginée à partir d’un fait divers ayant eu lieu à Bordeaux en 2012...

« Il y a longtemps, alors que le monde était déjà vieux, et que les arbres recouvraient la terre, un rétameur et sa fille arrivèrent dans une clairière. La petite fille s'appelait Prunelle. » Une nuit, le rétameur perd la trace de sa petite fille. Il va traverser les saisons et les éléments à sa recherche, avec l'aide des habitants de la forêt : arbre, oiseau, grenouille, taupe, feu... jusqu'à ce qu'il retrouve sa petite fille chez les loups... Cette pièce de Mike Kenny se lit et se regarde comme un rêve, peuplé de choses étranges et d'épisodes extraordinaires. Avec poésie, elle met en jeu les grands symboles de la peur dans notre culture occidentale (la nuit, la forêt, le feu, les loups), et nous invite à nous interroger sur notre manière à tous d'appréhender le monde, et sa part d'inconnu. « Tout animal doit enseigner à son enfant le monde où il vit. [...] Toi, homme, tu n'as enseigné que la peur à ta fille. […] Apprends à ton enfant à connaître le feu, non à le redouter. »

ÉTAT DE MÉDÉE : Love Addict. Superbe femme au destin écorché vif.
AIME : La bière, la drogue et le harcèlement fusionnel

Personne n'aurait pu y croire. Dans cette ville bien tranquille, où le quotidien rassure la plupart de ses habitants, un pachyderme ou pourrait-on dire un Rhinocéros ! rentre en scène. Cet événement des plus incongru qu'il soit va bouleverser les certitudes et le chemin de ce que doit être, ou non, la normalité. C'est grâce à l'absurde de Ionesco, qu'il est bon de découvrir, pour les petits et les grands, l'écho d'une voix

Vous êtes-vous déjà demandé comment nos émotions influencent notre comportement ? Bienvenu dans la tête de la petite Riley, au quartier cérébral où vivent : Joie Colère Peur et Dégoût. C’est parti pour un voyage au coeur du mystérieux esprit humain.